Le téléphone portable

A 2 W/kg (une puissance qu’atteignent les deux tiers des téléphones portables dans de mauvaises conditions de réception), une rupture franche dans plusieurs zones étanches du cerveau a été constatée. Ce phénomène était encore plus important dans les méninges, situées plus près de la zone du lobe d’irradiation de l’antenne du mobile, à cet endroit, le Pr Pierre Aubineau a relevé des "phénomènes inflammatoires assez catastrophiques". A 0,5 W/kg (une puissance basse qui correspond à de nombreux appels dans des conditions optimums, notamment fixes et hors milieux confinés comme les véhicules, transports en communs, etc...) le phénomène diminue, mais néanmoins la Barrière Hémato-Encéphalique s’ouvre dans certaines zones. Chez des rats prédisposés aux inflammations méningées, le phénomène était pire, en particulier au niveau du cerveau.

Hors de l’étude COMOBIO, le Pr Pierre Aubineau, a réalisé la même expérience à des puissances de 0,12 W/kg : Les barrières sont restées étanches.

COMMENTAIRES DU CHERCHEUR PIERRE AUBINEAU

"La rupture de la barrière hémato-encéphalique est un phénomène transitoire. Mais c’est inquiétant dans la mesure où ce qui est passé dans un sens ne sort plus.
On peut imaginer que des cellules bénignes franchissent cette barrière, mais aussi que des cellules cancérigènes restent prisonnières dans le cerveau pendant un certain temps.
On doit poursuivre ces recherches pour savoir si la durée d’exposition joue un rôle dans ces phénomènes. De leur côté, les fabricants doivent travailler sur des modèles de portables qui fonctionnent avec des puissances inférieures à 0,12 W/kg."

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