Comment savoir ?

Augmentation du niveau de l'irradiation artificielle depuis 2000

En quelques années, dans nos villes (mais aussi dans nos campagnes) le niveau d’exposition du public aux champs électromagnétiques produits par les technologies de la téléphonie mobile a augmenté de plusieurs millions de fois, au point de devenir un risque potentiel majeur pour la santé des citoyens.

Le déploiement massif des antennes relais, est la raison principale de l'exposition chronique du public aux champs électromagnétiques hyperfréquences, plus personne n'échappe à ce "brouillard électromagnétique" nommé par les Anglo-Saxon "électro-smog".

Ces rayonnements traversent les matériaux et personne n’est à l’abri, même dans son habitat.

Chacun d’entre  nous est continuellement exposé à ces champs électromagnétiques hyperfréquences qui produisent des ondes qui se situent dans la gamme spectrale des micro-ondes.

Aujourd'hui de plus en plus de logements sociaux<br />hébergent des antennes relais sur leurs toitsLogements sociaux (Vélizy)

A la téléphonie mobile viennent s’ajouter, les systèmes WIFI, (internet sans fil) ou autres "box internet", le WIMAX (internet collectif sans fil), les téléphones domestiques sans fils (DECT), la 3ème génération de téléphone mobile UMTS, les radars, les systèmes bluetooth, les alarmes, les écoutes bébé, et depuis peu la Télévision Numérique Terrestre (TNT).

Ces technologies nouvelles qui s'installent dans notre quotidien continuent d'accroitre le niveau d’exposition de tout les êtres vivant aux champs électromagnétiques Radiofréquences et Hyperfréquences.

Bureaux, écoles, crèches, hôpitaux, aucun lieu aussi sensible soit-il, n'échappe à l'invasion des technologies sans fil.

Pourtant le doute sur les conséquences sanitaires de ces ondes n’est plus permis.

L’étude globale internationale BIONITIATIVE qui regroupe près de 2000 études scientifiques indépendantes, démontre les effets nocifs de l'exposition aux champs électromagnétiques hyperfréquences et extrêmement basses fréquences (50 hz du réseau électrique).

Les  résultats de cette méta-étude n’ont jamais été contestés depuis 2007, année de sa publication.

Aujourd’hui la situation est la suivante:

hyperfréquences:

- Des technologies sans fil déployées massivement et globalement sans qu'aucunes évaluations préalables n'aient été effectuées sur les conséquences de l’exposition chronique à ce type de rayonnement.

- Un déploiement très peu encadré et très peu contrôlé qui ne prend pas en considération la protection de la santé publique.

Aucun cadastre officiel n'existe pour les antennes relais dont le nombre dépasse les 150000 aujourd'hui en France, parfois même les élus ne connaissent pas les localisations de ces émetteurs.

- Les normes officielles d’exposition du public sont bien trop élevées.  Les normes en application en  France pour la "protection" du public sont uniquement basées sur les effets thermiques (échauffements) des micro-ondes (hyperfréquences) et  ne prennent pas du tout en compte les effets biologiques liés à l’exposition chronique (Voir rubrique : Des normes qui ne  protègent pas).

Les normes en vigueur  sont uniquement conçues pour des expositions intenses et de courte durée.

Il en va de même pour les normes d'exposition aux champs électromagnétiques extrêmement basses fréquences produits par le 50Hz.

- C’est pourtant à une exposition chronique et massive que chacun d'entre nous est confronté.

- Face à l'inquiétude qui grandie, ces antennes sont de plus en plus souvent installées  en catimini  par les opérateurs, ceci à l’insu des populations, comme ici à Lyon. Les antennes relais sont de plus en plus "intégrées" dans le paysage,  ou plutôt devrait ont dire  "camouflées"  de manière à ne pas attirer l'attention, (faux arbres, clochers, etc..).

Souvent les implantations de ces antennes ne respectent pas le minimum du "code de bonne conduite" de l’AFOM (l’association des opérateurs de téléphonie mobile) et irradient à des niveaux très élevés les riverains.

Un nouveau problème majeur se développe avec l'essors des antennes UMTS (3G). l'UMTS est la troisième génération de téléphonie mobile, celle qui permet l'accès à la vidéo et à l'internet. Pour atteindre cet objectif d'un transfert de données plus important, la fréquence utilisée est plus élevée (plus les fréquences sont élévées, plus elles sont énergétiques). Plus la fréquence est élevée et plus la longueur d'onde est courte ce qui implique des antennes plus petites.

Pour ces raisons, aujourd'hui il devient très difficile de repérer visuellement les antennes UMTS qui produisent pourtant des rayonnements succeptibles d'être encore plus nocifs pour la santé que ceux produits par les antennes de GSM 900 et 1800 Mhz!

L'UMTS nécessite en outre une densité d'antennes supérieure aux réseaux GSM 900 ou 1800.

L'UMTS implique environ 300 mètres entre deux antennes.

Dans un tel contexte la multiplication des "points chauds" et une augmentation très importante de l'irradiation du public est inévitable.

Antennes camouflées dans un arbre factice

Exemple d'antennes "intégrées" dans le paysage

Basses Fréquences 50Hz:

De nombreuses habitations continues d’être construites trop proches et même en dessous de lignes à Haute Tension…

Les enfants habitants à moins de 300 mètres de lignes à Haute Tension ont 67% de risques supplémentaires de développer une leucémie que ceux habitant au delà de 300 mètres (Drapper 2005).

Connaissez vous la distance de sécurité de chaque coté d’une ligne HT de 400000 volt?

400 mètres ...

Ligne Haute Tension à Igny dans l'EssonneExemple de lignes HT qui ne respecte pas les distances de précautions (Igny)

 

Dans un tel contexte les questions se multiplient :

A quoi  suis-je exposé ?

Quels niveaux maximums d’exposition ?

Quels risques sanitaires ?

Que dit la science en matière de santé ?

Quelles est la crédibilité des mesures officielles ?

Comment interpréter les chiffres ?

Comment protéger sa santé et celles de ses enfants ?


Autant de questions auquelles le citoyen ordinaire est dans l’impossibilité de répondre.

Les moments qui suivent la  prise de conscience d’une situation à risque sont souvent source d’angoisse et de grande solitude pour les personnes qui y sont confronté tant ces questions restent sans réponses.

For ce constat CEM-Expertise a vu le jour pour que ces questions que se posent de plus en plus de citoyens, trouvent des réponses.

L’objectif de CEM-Expertise est de vous accompagner tout au long de ce processus de prise de conscience en vous apportant les informations nécéssaires pour comprendre votre situation.

Ceci passe par une étape d’explications qui sera toujours le préalable à la prise de mesures en situation.

Il serait inutile de vous abandonner au milieu du gué en vous remettant simplement un rapport de mesures, sans qu’au préalable vous ayez acquis les notions qui vont vous permettrent d’interpréter et d’utiliser ces résultats.

Vous trouverez également dans notre rapport d’analyse, de nombreux conseils qui vous permettrons de faire cohabiter ces technologies et votre santé.

Notre approche vous associe pleinement à notre intervention et vous permet à l’issue de celle-ci vous impliquer dans le choix d’éventuelles solutions de protection.